lundi 20 juin 2022 à 10h
Manifestation Grande manifestation syndicale en front commun
20 juin // Grande manifestation syndicale en front commun
Parce que la vie est de plus en plus chère. Les prix du gaz, de l'électricité, du mazout, de l'essence, du diesel mais aussi du pain, du café, des pâtes…tout augmente trop vite… sauf les salaires ! Il faut changer la loi sur la norme salariale (dite loi de 1996), la loi qui nous empêche de négocier de vraies augmentations de salaires.
Rassemblement // Lundi 20 juin à partir de 10h // Gare du Nord à Bruxelles
En parallèle, les grandes entreprises internationales du secteur de l'énergie réalisent d'énormes bénéfices en profitant de l'envolée des prix, aggravée par la guerre en Ukraine.
Des entreprises répercutent les coûts de l'énergie sur leurs prix. L'indexation absorbe le plus gros de l'impact pour les travailleurs, mais cela ne suffit plus.
Résultat: les personnes qui ont des revenus moyens ou faibles ne s'en sortent plus. Et ne voient pas le bout du tunnel…
C'est pourquoi il faut que les salaires augmentent. Sensiblement. Or, la loi sur la norme salariale l'interdit. Elle n'autorise qu'une très faible progression des salaires. Pourtant, selon la Banque nationale, les entreprises belges réalisent des bénéfices historiquement élevés, bien plus que dans les pays voisins.
La FGTB, la CSC et la CGSLB veulent une prise de conscience politique. La loi sur la norme salariale doit être modifiée. 87.390 personnes (il nous en fallait 25.000) ont signé notre pétition en ce sens ! Le Parlement est désormais obligé d'entamer le débat sur ce sujet. Nous devons continuer à mettre la pression, c'est pour cela que nous organisons une grande manifestation le 20 juin.
Nos tracts et affiches
Téléchargez ici nos tracts et affiches :
- Affiche // La vie est chère. Il faut de meilleurs salaires
- Tract // Prix de l'énergie
- Tract // Prix des produits alimentaires
- Tract // Indexation des salaires
- Tract // Marge bénéficiaire des entreprises belges
- Affiche FGTB // Sans libertés syndicales, pas de hausses salariales